Surprise du jour ! Un figuier s’est mis à pousser dans le composteur…
Petite balade dans le jardin…
Les premières carottes 2015 !
Engrais vert (suite)
Premiers épinards !
Le 25 Mai, ont a mangé les premiers épinards (Kokopelli) et on s’est régalé !
La planche à épinards.
Les épinards en cuisine. Facile, il suffit de laver les feuilles, retirer au couteau les tiges et faire « fondre » dans une casserole avec un fond d’huile d’olive. Il ne reste plus grand chose dans l’assiette mais que du bon !
La féverole à la Ventarelle !
Aujourd’hui, un coup de cœur sur la plante qui m’a le plus impressionné ces derniers mois au jardin: la féverole !
L’aventure a commencé l’été dernier quand j’ai décidé d’expérimenter l’engrais vert sur mes parcelles de potager. J’ai commandé sur Internet les grands classiques pour commencer (phacélie, moutarde blanche, luzerne…) mais j’ai eu la chance de récupérer également une bonne quantité de graines de féverole par l’intermédiaire d’un membre de ma famille.
La féverole, plantée au mois de novembre 2014 dans la nouvelle planche et à une profondeur supérieure à 10 cm, est très vite sortie de terre en raison de la douceur de l’automne.
Les plants sont montés assez rapidement à une vingtaine de cm puis l’hiver est arrivé avec des températures atteignant parfois les -5°C. La croissance s’est arrêtée, les plants sortaient un peu flétris d’une nuit de gel mais se ressaisissaient vite dès les températures positives.
Peu à peu on est sorti de l’hiver, les températures diurnes ont dépassé les 15°C au mois de mars et les plants sont repartis en croissance de plus belle !
Ils ont atteint plus d’un mètre de hauteur, ont fleuri, produit des cosses puis on commencé à décliner au mois de Juin.
La féverole derrière les plants de pomme de terre.
Récolte des cosses et mise en séchage.
Les graines pour l’année prochaine après séchage des cosses et écossage manuel.
Résultat: de la matière végétale pour pailler les tomates qui les ont remplacés, des racines pivotantes chargées de nodules d’azote et des graines en quantité pour recommencer l’année prochaine !
Fifi le féverolo-convaincu
Le nouveau poulailler…
Cette année, on a cassé la tirelire pour nos poules… Surtout pour se débarrasser des rats ! La maison est bien fermée et sur pilotis. La mangeoire est anti-rats. Il faut avoir le poids d’une poule pour pouvoir ouvrir le tiroir à aliment. Et il y aura encore mieux dans quelques jours !
Isoler les salades des gastéropodes…
Je cherche toujours à protéger les semis fragiles de salades des gastéropodes sans utiliser de petites graines bleues même bio…
Cette année m’est venue l’idée de semer les salades dans des bacs qui viennent se poser entre 2 carrés de potager et sur 4 grandes vis. Pas de dégât pour le moment, les escargots ne pratiquant pas l’escalade sur les vis !
Les premières récoltes 2015
Technique 2015 de plantation de tomate !
Cette année, 140 pieds de tomate à planter dans diverses variétés. Traditionnelles comme la Cœur de Bœuf ou les tomates cerise de Mamy Trac dont je garde précieusement les graines d’une année à l’autre ou plus innovantes comme la Noire de Crimée ou quelques pieds « surprise » provenant de la voisine de René.
Au premier Mai, je me suis lancé dans cette activité sportive qui ressemble plus à un marathon qu’à un jeu de plage ! Mais avec une nouveauté !
J’ai acquis récemment une petite machine pour m’aider à creuser les (nombreux) trous de jardin: planter des piquets, planter des arbres, planter des haies… La méthode « bêche plate » se révélant un peu longue, j’ai cherché et trouvé la merveille ! Une tarière thermique ! Et en plus, je me suis dit que ça devrait bien aider pour planter les tomates ! Et c’est vrai: un vrai bonheur. En quelques minutes, 12 trous vite fait-bien fait de 40 cm de profondeur dans lesquels il n’y a plus qu’à mettre feuilles de consoude, mélange terre-compost à 50%-50%, le pied de tomate et le tour est joué !
Un autre avantage non négligeable avec les tomates, c’est le planter-profond qui favorise l’expansion des racines. Ci-dessous, les trous dans le nouveau potager dont le sol est encore compact en profondeur, ce qui peut être un obstacle au développement des tomates.